Vincent paintings – un peintre suisse
Mon art, ma passion
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été passionné d’art pictural. Mon oncle Marcel était un peintre de la région lémanique. Je me souvien encore, tout môme, de mes visites au musée d’art et d’histoire de Genève; envoûté par les toiles de Calame, Corot, Hodler, Sysley, Van Gogh…
Je me souvient aussi des peintres Versoisiens rencontrés dans les rues du village, Madame Guérin, Madame Pérriraz. Je les regardais dévorer, avec leur chevalet posé dans la rue, le regard affûté, les paysages de la région. Comment non plus ne pas oublier mon après-midi chez le peintre Cosi « Dutoit », grand admirateur de De Staël qui prit le temps de me montrer son travail et sa technique de couches picturale.
Durant ma jeunesse, j’ai toujours ressenti « un appel » dans cette discipline.
Il m’était impossible après toutes ces expériences de ne pas me laisser entraîner dans cette spirale polychromique, à la poursuite de l’utopique création.
Long est le chemin qui mène au sommet de la montagne !
Ma peinture
Figuratif, abstrait, contemporain
Étant autodidacte, je n’ai pas suivi de cursus, le chemin élémentaire qui t’enseigne les techniques et te mène sur ta voie. J’ai beaucoup lu, arpenté les musées, scruté les toiles des grands maîtres.
Tous m’ont éblouis, impressionnés ! Je ne peux actuellement me résoudre à rester dans un style.
Je ne me vois pas actuellement peindre uniquement des tableaux abstrait ou figuratif. Suivant mes états d’âme, j’aime pouvoir m’exprimer de plusieurs façons.
La vie c’est la diversité !
On aime varier ses repas, goûter un nouveau vin, découvrir de nouveaux horizons, contempler la lumière au gré de la journée… Pour moi, la peinture c’est tout ça. Je veux tout embrasser, quitte à me perdre et trébucher dans les méandres du grain de la toile.
Mais je sais qu’au bout de la brosse et du couteau, il y a un chemin qui t’emmène vers des contrées picturales, parfois connues, figuratives; parfois abstraites, aux contours chimériques…et pourquoi pas vers le paradoxal, mais inéluctable art contemporain ?
